A la recherche de l’immatériel : comprendre l’investissement de l’industrie française
- La Fabrique de l'industrie
- OFCE - salle de conférence (2ème étage) / 10 place de Catalogne 75014 Paris
A l’occasion de la sortie de leur nouvelle étude, La Fabrique de l’industrie et l’OFCE organisent une conférence-débat sur le thème :
« A la recherche de l’immatériel : comprendre l’investissement de l’industrie française »
Mardi 3 décembre 2019
De 9h à 10h30
Accueil café à partir de 8h30
OFCE – salle de conférence (2ème étage)
10 place de Catalogne – 75014 Paris
Au programme :
- Présentation de la note par les auteurs – Sarah Guillou et Caroline Mini,
- Table ronde avec la participation de :
- Louis Gallois, co-président de La Fabrique de l’industrie,
- Xavier Ragot, président de l’OFCE,
- Dominique Guellec, conseiller scientifique de l’Observatoire des Sciences et des Techniques,
- Mathieu Plane, économiste, directeur adjoint du département analyse et prévision de l’OFCE,
- Échanges avec la salle.
Cette conférence-débat sera l’occasion de décrypter l’investissement immatériel des entreprises industrielles françaises.
On a pu constater dans une étude précédente* que le taux d’investissement des entreprises manufacturières françaises dans les logiciels et bases de données est plus élevé que dans les autres pays européens.
Les auteures – Sarah Guillou, économiste à l’OFCE et Caroline Mini, cheffe de projet à La Fabrique de l’industrie – révèlent ici que cet écart découle en grande partie de pratiques de comptabilisation différentes entre les offices statistiques nationaux. Il semble néanmoins que les entreprises industrielles françaises aient des dépenses en logiciels et services informatiques légèrement plus élevées que leurs voisines, réparties de manière très inégale entre secteurs et entre entreprises.
Ces résultats seront présentés en détail et débattus lors de cette conférence.
* « L’investissement des entreprises françaises est-il efficace ? » – La Fabrique de l’industrie/France Stratégie, octobre 2018 – met en évidence le taux élevé d’investissement dans les logiciels et bases de données des entreprises manufacturières françaises par rapport aux autres pays européens.